Règles ¶
- Boni bonum publicum curant.
- Invitus media hieme profectus est.
43. VERSION ¶
- Improbi bonis amici esse non possunt, quod maxima est inter eos morum distantia.
- Quis bonus non luget mortem Trebonii ?
- Invidi virtutem et bonum alienum oderunt.
- Quod malum est, gloriosum non est ; mors gloriosa est, mors ergo non malum.
- Nec census, nec clarum nomen avorum, sed probitas magnos ingeniumque facit.
- Nullius boni jucunda possessio est sine socio.
- Quis sapiens bono confidat fragili ?
- Te auscultabo lubens.
- Qui invitus servit, fit miser, servit tamen.
- Germani reliqui se in flumen praecipitaverunt.
- Quaeso ignoscas, si quid stulte dixi atque imprudens tibi.
- Perficite ut is, quem vos ad mortem inscii misistis, immortalitatem habeat a vobis.
- Caput fixum gestari jussit in pilo, reliquum corpus abjecit in mare.
- Socrates eam orationem non invitus legit.
- Quid hoc injustius quam nos, inscientibus iis qui bellum gerunt, de pace decernere : nec solum inscientibus, sed etiam invitis ?
44. THEME ¶
- Combien de pauvres demeurent sans secours et sans assistance ! Manquent de
- Aristote regarde cette coutume [comme] très préjudiciable au bien public.
- Les meilleurs ne font presque jamais les biens qu’ils veulent faire et font souvent les maux qu’ils ne veulent pas.
- Les méchants sont toujours malheureux.
- Vous voyez, ô terrible divinité, le fils du malheureux Ulysse. malheureux
- Nos matelots se jetèrent au fond de la barque et s’endormirent.Nos matelots, leurs corps ayant été étendus au fond de la barque, (abl. abs.) commencèrent à dormir
- Au milieu de la vallée passe un fleuve décoloré. Un fleuve décoloré coupe la vallée au milieu
- Je serai fort aise de vous dépeindre ce fameux pays. Je vous dépeindrai très volontiers
- Au fond des forêts le loup l’emporte et le mange. Tomba par mégarde
- Le vrai trésor de l’homme est la verte jeunesse ; le reste de nos ans ne sont que des hivers.
- Un astrologue se laissa choir au fond d’un puits.
- Du haut de sa potence comme d’un tribunal, il harangua le peuple. Du = depuis, ex (abl.)
- Les Athéniens se sont trouvés asservis sans s’en apercevoir. Sont venus en (venire in, acc.) servitude à leur insu
45. VERSION ¶
- In Italia bellum gerimus, in sede ac solo nostro : omnia circa plena civium ac sociorum sunt.
- Philosophus ille plenus est humanitate quam praecipit.
- Milites omnes, trepidi improviso metu ac tamen virtutis memores, arma capiebant.
- Romani semper appetentes gloriae praeter ceteras gentes atque avidi laudis fuere.
- Non illo melior quisquam nec amantior aequi vir fuit, aut illa metuentior ulla deorum. Il s’agit de Deucalion et de sa femme.
- Ii qui praesunt reipublicae legum similes sint, quae ad puniendum non iracundia, sed aequitate ducuntur.
- O spectaculum illud non modo hominibus, sed undis ipsis et litoribus luctuosum, cedere patria servatorem ejus, manere in patria perditores !
- Animus, ut corpus, ad morbos proclivis est.
- Qualis ista philosophia est, quae sit contenta mediocritate vitiorum ?
- Graeci non solum ingenio et doctrina, sed etiam otio studioque abundantes erant.
46. THÈME ¶
- Tes propos sont courts, mais pleins de sens.
- J’ai trop aimé la guerre.
- Philoclès avait la crainte des dieux.
- Le renard est très avide de miel.
- Il disait : « Qui me suit, aux anges est pareil. »
- Les Parques furent une seule fois favorables aux mortels.
- Il déracine celui de qui la tête au ciel était voisine et dont les pieds touchaient à l’empire des morts.
- Une fumée épaisse rendait la caverne funeste à tous les animaux.
- Dans les commencements cette sincérité me plaisait ; je l’écoutais avec confiance pour me préserver des flatteurs.
- Xantus demanda à Esope à quoi il était propre.
- Il était, quoique riche, à la justice enclin.
- Votre lâcheté mérite qu’on en rie.
- Les séditieux, animés par ces heureux succès, allèrent mettre le siège devant Carthage.
47. VERSION ¶
- Edictum Bruti mihi plenum aequitatis videbatur.
- Litteras, quas me sibi misisse diceret, recitavit hic homo humanitatis expers et vitae communis ignarus les convenances
- Milites modo conscripti atque usus militaris imperiti ad centuriones ora convertunt.
- Romani veteres et scientes belli orbes facere atque ita instructi hostium vim sustentabant.
- Epaminondas fuit veritatis diligens.
- Vitrici te similem quam avunculi maluisti.
- Quorum facinus est commune, cur non sit eorum praeda communis?
- Cur semper tui dissimiles defendis?
- Factus es ei rursus nescio quomodo familiaris.
- Stabat acuta silex, dirarum nidis domus opportuna volucrum.
- Hic vir est ad labores belli impiger, ad pericula fortis, ad usum ac disciplinam peritus, ad consilia prudens. la pratique et la théorie
- Domus illa aleatoribus referta, plena ebriorum erat.
- Fortasse a Dolabella alienus non essem, nisi ille vobis inventus esset inimicus.
48. THÈME ¶
- Reçois mes larmes et mes pleurs, ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs.
- Le grand Hannibal n’était pas ignorant dans les belles lettres.
- Ils trouvèrent des soldats accoutumés à vivre de peu, [des corps] endurcis au travail.
- La chevelure des Francs, teinte d’une liqueur rouge, est semblable à du sang et du feu.
- Mon front, au Caucase pareil, brave l’effort de la tempête.
- La religion est environnée de deux écueils également dangereux à l’homme, également injurieux à la divinité : savoir l’impiété et la superstition.
- Les préparatifs de la guerre étaient proportionnés au grand dessein que les Carthaginois avaient conçu.
- Vos résolutions sont dignes de louange.
- Hicétès, tyran de Syracuse, était originaire de Syracuse.
- Ils se regardent déjà comme [des orphelins] privés du meilleur des pères.
49. VERSION (3º) ¶
- Tullius Cimber immemor beneficiorum, memor patriae fuit.
- Quis est tam ignarus rerum qui hoc non intellegat ?
- Plagarum tolerantissimus, laboris patiens asinus est.
- Iram non tenuit Alexander, cujus potens non erat.
- Consultor homini tempus utilissimus.
- Rem gesserat consimilem iis rebus quas ipse gesseram.
- Est Creta vobis notior quam Roma Cydæ.
- Quis cuiquam inimicior fuit quam Dejotaro Caesar ?
- Amicior causae Caesaris quisquam potest inveniri quam filius ?
- Boum terga ad onus accipiendum non sunt figurata ; cervices autem natae ad jugum.
- Scipio natus mihi videtur ad interitum exitiumque Carthaginis.
- Quis est tam tenui cogitatione praeditus, qui non hunc hominem sapientissimum judicet ?
- Dignus erat Hortensius majoribus suis.
- Ego sum illorum, ut ipse fateor, familiaris.
- Ipse gubernator, tollens ad sidera palmas, exposcit votis, immemor artis, opem.
50. THÈME (3e) ¶
- Les habiles gens sont toujours recherchés et nous sommes instruits de votre capacité.
- Je suis bien aise de voir en vous une si belle passion pour la gloire. Je prends un grand plaisir, lorsque je te vois si désireux de
- Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. Quoiqu’il soit aimant Par rien.
- Ils ne se servent guère du fer excepté pour les instruments nécessaires au labourage. Tous les arts qui regardent l’architecture leur sont inutiles. Si ce n’est pour (ad) les choses qui sont nécessaires pour labourer
- Jamais je n’ai vu de surprise pareille à la leur. Qui fût pareille à leur surprise
- Les Corinthiens étaient de tous les Grecs les plus déclarés contre la tyrannie et les plus vifs défenseurs de la liberté. Les plus zélés pour
- Carthage tirait de la Grèce des soldats également bons pour toutes les opérations de la guerre, propres à servir en campagne ou dans les villes, à faire des sièges ou à les soutenir. Les Carthaginois Propres au service des camps et des villes, aptes à attaquer (les villes) et à (les) défendre
- Nul n’est content de l’heure présente.
- Ce loup ne savait pas encor bien son métier. N’était pas encore expérimenté dans son métier
- [C’est] du séjour des dieux [que] les abeilles viennent.
51. VERSION ¶
- Helvetii omne comburunt ut, domum redditionis spe sublata, paratiores ad omnia pericula subeunda essent.
- Natura propensi sumus ad diligendos homines.
- Equum non crebris vulneribus exterret domandi peritus magister.
- Aves ad imitandum humanae vocis sonum dociles sunt.
- Inventi sunt multi qui non modo pecuniam, sed vitam etiam profundere pro patria parati essent !
- O rem dignam, in qua non modo docti, verum etiam agrestes erubescant !
- Voluptas non est digna ad quam sapiens respiciat.
- Digna res est quam diu multumque consideres ; ne ego quidem indignus cui copiam tuae scientiae facias.
- O rem non modo visu foedam, sed etiam auditu !
- Hoc grave dictu est, sed dicendum tamen.
- Multa accidunt dura toleratu.
- Tunc eligebatur aliqua maior natu propinqua, cui omnis eiusdem familiae soboles committeretur ; coram qua neque dicere fas erat quod turpe dictu, neque facere quod inhonestum factu videretur.
Exercice 52. THÈME ¶
- L’histoire peut piquer la curiosité de cet âge avide d’apprendre. Augmenter le goût (de savoir)
- Cette ville ambitieuse s’empara d’une grande partie de la Sicile. Désireuse de dominer
- Il partit animé d’un vif désir de venger sa famille. Très avide de venger les siens
- Cette île était plutôt un écueil qu’une terre propre à être habitée. Propre à habiter
- Les [troupes] mercenaires, accoutumées à mesurer leur fidélité sur le salaire, étaient toujours prêtes à passer du côté de l’ennemi. Passer du côté de l’ennemi : descisco, is, scivi, ère
- Mon état est digne d’envie. Digne d’être envié
- Tu méritais bien d’être fouetté toi-même pour cette extravagance. Tu étais digne d’être fouetté
- Je n’ignore pas qu’Adraste mérite d’être surpris et trompé. Est digne
- Il ne mérite pas d’être cru. Il est indigne d’être cru
- Je ne lui parus pas digne d’être vaincu par lui.
- Ta fausse vertu a longtemps ébloui les hommes faciles à tromper.
- Il tient dans sa main une lyre d’ivoire et chante les merveilles des dieux. Par Les actions des dieux, merveilleuses à dire
- Le peuple d’Athènes était difficile à manier.
- Toute cette populace, prête à briser les portes de la prison, oublia ses projets séditieux.
54. THÈME ¶
Socrate et Alcibiade. – Socrate. Tu étais bien né et tu as mal vécu. Un père ne saurait être plus attaché à son fils que je ne l’étais à toi. Dans toutes les rencontres [des guerres], j’étais toujours à ton côté. Un jour, le combat étant douteux, tu fus blessé ; aussitôt je me jetai au devant de toi pour te couvrir de mon corps comme d’un bouclier. Je sauvai ta vie, ta liberté, tes armes. La couronne m’était due par cette action : je priai les chefs de l’armée de te la donner. Je n’eus de passion que pour ta gloire. Je n’eusse jamais cru [que] tu eusses pu devenir la honte de la patrie et la source de tous ses malheurs. – Alcibiade. Je m’imagine, mon [cher] Socrate, [que] tu n’as pas oublié aussi cette [autre] occasion où, nos troupes ayant été défaites, tu te retirais à pied avec [beaucoup de] peine et [où], me trouvant à cheval, je m’arrêtai pour repousser les ennemis qui allaient t’accabler. – Socrate. [Si] je rappelle ce que j’ai fait pour toi, [ce] n’est point pour te [le] reprocher, [c’est] pour montrer les soins que j’ai pris pour te rendre bon et combien tu as mal répondu à toutes mes peines. Tu étais né pour la vertu et tu n’as pas bien vécu J’ai combattu voisin de toi J’opposai pour toi mon corps afin que tu fusses protégé en quelque sorte par un bouclier Ob. (acc.) J’ai été désireux seulement de Je n’ai pas dû espérer toi pouvoir devenir (Que) tu n’es pas oublieux de ce combat, dans lequel les nôtres ayant été vaincus. Comme j’étais porté par un cheval Mes bienfaits Mais pour que tu comprennes combien j’ai été zélé pour augmenter ta vertu et combien peu tes actions ont répondu à mes efforts